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Samedi 6 juillet à 20H
AND HERE I AM
Freedom Theatre / Festival Sens Interdit
Ahmed Tobasi est né dans le camp de réfugiés de Jénine en Cisjordanie pendant la première intifada. Il est témoin pendant son enfance des répercussions violentes de l’occupation : la deuxième intifada, les raids militaires, l’invasion et la destruction partielle du camp. Hassan Abdulrazzak, auteur d’origine irakienne, s’est saisi de cette histoire en mêlant le réel au fantastique et le comique au tragique pour restituer la complexité d’un voyage aux accents doux-amers. Ahmed Tobasi incarne ainsi son propre personnage dans ce spectacle qui tourne à travers le monde depuis 2017, articulant le parcours d’un homme en quête de sa définition de la liberté avec l’Histoire de la résistance palestinienne autant armée que culturelle et artistique.
EMBALLAGE
18h30
Du 29 juin au 2 juillet
+ le 9 juillet à 17H
Nous allons vous raconter l'histoire, la tragi-comédie, la lutte d'Alexandre Zacharie, l'homme qui ne possède rien que lui-même se vend, et de sa femme Berthe aux prises avec les réalités quotidiennes
Compagnie La Parole Rouge / Théâtre des Carmes
Texte d'André Benedetto
Mise en scène collective
ANGÈLE
10h
Du 05 au 21 juillet
(relâches les 9 et 16 juillet)
Inspiré du roman de Jean Giono Un de Baumugnes et du film de Marcel Pagnol, le spectacle est une rencontre à la scène de mots et d’émotions, un hommage universel à la terre, à la vie, à la femme.
Compagnie Cartoun Sardines Théâtre
Texte d'après
Mise en scène Patrick Ponce
FAUT-IL SÉPARER L'HOMME
DE L'ARTISTE ?
12h05
Du 05 au 21 juillet
(relâches les 9 et 16 juillet)
Alors que #MeToo libère des milliers de témoignages et que les artistes tombent sous les accusations d’agression sexuelle, que faire de cette question : Faut-il séparer l’homme de l’artiste ?
Compagnie Y
Conception Etienne Gaudillère et Giulia Foïs
Mise en scène Etienne Gaudillère
ON FABRIQUE, ON VEND,
ON SE PAIE
14h05
Du 05 au 21 juillet
(relâches les 9 et 16 juillet)
L'affaire Lip à profondément marqué l’histoire des luttes en mobilisant des dizaines de milliers de personnes à travers l’Europe entière durant près de 4 ans
Le Bain Collectif
Texte et mise en scène d'Anouk Darne-Tanguille
ŒUVRER SON CRI
16h05
Du 05 au 21 juillet
(relâches les 9 et 16 juillet)
Quelques artistes occupent un théâtre, fermé depuis quelques mois, qui doit être détruit et pourrait être remplacé par un parking. Ils ont en tête quelques précédents fameux : l’Odéon en 1968, le Teatro Valle de Rome au milieu des années 2010, la Volksbühne de Berlin en 2017.
Compagnie Courir à la catastrophe
Écriture collective
Mise en scène de Sacha Ribeiro
EURYDICE AUX ENFERS
18h25
Du 05 au 21 juillet
(relâches les 9 et 16 juillet)
Un manifeste pour la vie, une ode à la puissance féminine
Compagnie l'Eau qui Dort
Texte et mise en scène Gwendoline Destremau
VERTÉBRÉ
20h
Du 10 au 21 juillet
(relâche le 16 juillet)
Imaginez votre salle de théâtre se transformer le temps d’une soirée en bar, avec ses tables, ses chaises, son comptoir, pour une expérience entre verbe et vin, une tentative de ré-enchantement du monde.
Compagnie 13/31
Texte Alexandre Tran
Mise en scène Lisa Guez
OFFICE
22h
Du 05 au 21 juillet
(relâches les 9 et 16 juillet)
C’est le dernier jour du déstockage dans un magasin de fournitures de bureau. Antoine, le vendeur, et les cinq derniers client.es se retrouvent à refaire le monde. Le pot de départ improvisé du futur chômeur se meut peu à peu en bal des paumé.es, où s’entrecroisent les inquiétudes et les rêves de chacun.e. Pris d’un élan de confiance, le groupe décide alors de présenter Antoine aux élections municipales..
Compagnie Carrelage Collectif
Texte et mise en scène Adrien Madinier
DERRIÈRE LES FRONTS
20h
Mardi 16 juillet
En résonance avec l'actualité mondiale, le Théâtre des Carmes et la Cie De l'âme à la vague proposent une représentation exceptionnelle de "Derrière les fronts" adaptation des chroniques du Dr Jabr psychiatre palestinienne et du documentaire de Alexandra Dols.
Compagnie de l'âme à la vague
Texte de Samah Jabr et Franck Smith
Mise en scène Grégory Bonnefont
Chorégraphe : Christophe Gellon